dimanche 18 novembre 2012

Au Domaine de Kerguéhennec, cet automne



Jérôme BOUTTERIN : Brûler sa maison

Je changeais d'atelier et je trouvais mon nouvel espace très encombré par les toiles anciennes puisque je n'avais pas de réserve. J'ai donc détruit des peintures. Assez nombreuses.  A cette occasion j'ai compris la valeur de la pièce unique à la différence d'un médium qui se reproduit : lorsqu'on détruit une peinture ou une sculpture, c'est vraiment détruit. Cela a donc quelque chose d'irrémédiable, sans retour, c'est cuit.
Jérôme Boutterin, 2012.



1 commentaire:

Ariaga a dit…

Un coucou en passant. Amitiés.